• Le monstre du Loch Ness

     

     
    Alors pour vous c'est ça le légendaire monstre du Loch-ness.Pas pour moi ,en effet le chirurgien qui a soit disant vu et pris en photo le monstre(ci-dessus) a avoué ,(sur son lit de mort ...),que c'était un cannular...Et oui moi aussi je m'étais dit ouais cool enfin une photo ! Mais non c'était une fausse.
    Mais bon revenons à l'histoire.
     
    Le monstre vit dans un lac de 42 km de long,en écosse.Le lac est constitué d'une eau assez trouble.Les témoins disent avoir vu un "monstre" gigantèsque ,qui d'après les chercheurs devrait peser quelques tonnes.Mais jusque-là aucune preuve de son existence...Espérons que ce cliché pris par un paysan soit un vrai .
    Sinon il va falloir attendre ou alors aller voir de nous-même,qui est partant pour un voyage en Ecosse?!
    Bon arretons de plaisanter ,des recherches ont étés effectuées avec du matériel de pointe et ....rien ,si une caverne gigantesque ,mais pas de monstre à l'intérieur.Et puis après quelques études ,les scientifiques sont formels : il ne peut y avoir qu'une seule créature ,de plus il n'y a pas de chaine alimentaire dans le lac donc pas de poisson ,alors de quoi se nourrissent le Nessie et sa famille ..espérons qu'il en a une ...
    Alors qui croire les scientifiques ou les pseudos témoins ...?

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  • Micro-Humains

     

     

    La vous pensez : Micro-Humains ,des hommes microscopiques...euh non pas tout à fait ; ils ont étés découverts en Micronésie(dans le pacifique) d'où le nom.C'était en mars dernier à Palau (vous l'aurez compris en micronésie ...).Lee berger et ses collèges on exhumé des squelletes humains primitifs  de très petite taille,environ moins d'1m20 .La reconstitution d'une femelle adulte donne un poids aux environs de 29 kg.Cette espèce jusque-là inconnue s'avère être voisine de l'homme de Florès ou des plus petits australopitèques; Or, les restes osseux datés au carbone 14 accusent un âge beaucoup plus récent encore qu'à Florès : entre 2890 et 1410 ans avant le présent seulement !

    Petite description :

    -Arcades sourcilières très volumineuses

    -Un menton fuyant

    -De grandes dents

     

    -Et un crâne très grand par rapport à leur taille

     

    Pour l'instant aucune image ou photo n'a été publiée ,si j'en trouve je les ajouterais à l'article.

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  • La légende des Cranes Hurleur

     

    Pour beaucoup de peuples primitifs le crâne était l'objet d'une terreur superstitieuse. Il y voyaient le siège de l'âme. Les chasseurs de tête conservaient le crâne de leurs ennemis comme de précieux trophées. Les guerriers scandinaves buvaient dans des crânes, pensant hériter des vertus martiales de leurs adversaires.

    Les crânes ont toujours joué un rôle important dans les pratiques des sorcières et des magiciens. Il y a eu un procès célèbre au sujet des crânes, qui fut prononcé en 1612 à Anne Chattox. Elle supervisait   toute une bande de sorcières du Lancashire. Elle fut accusée d'avoir déterré trois crânes dans un cimetière pour s'en servir dans des rites démoniaques. Elle fût evidamment pendue.

    Au XVIIe siècle, une jeune fille du nom de Anne Griffiths, qui vivait à Burton Agnes Hall ( Futur manoir d'Elisabeth 1 ), dans le Yorkshire, fut attaquée et sauvagement battue par des voleurs. Au moment de sa mort , elle exprima le désir singulier que sa tête soit ensevelie dans le manoir qu'elle aimait tant. Mais son voeu ne fut pas exaucé , et elle fut enterrée dans le cimetière du village. Peu de temps après les funérailles, la maison se mit à retentir des gémissements affreux, de bruits étranges et sinistres, et les portes claquèrent toutes seules. On déterra le crâne, on le scella dans un mur du manoir, et depuis lors Burton Agnes Hall connait la paix.

    De toutes les histoires de crânes qui courent en Angleterre, la plus singulière est probablement celle du crâne hurleur de Bettiscombe Manor, dans le Dorset. Ce château est le berceau de la famille Pinney. Au XVIIIe siècle, un Pinney parti pour les Indes occidentales et en revint avec un serviteur noir. Ce serviteur mourut très rapidement, mais avant de mourir, il fit promettre à son maître qu'il serait enterrer dans sa patrie, une île des Caraïbes appelée Nevis. Le châtelin ne tint pas sa promesse et fit ensevelir son serviteur dans le cimetière local. Aussitôt, des cris effroyables s'élevèrent de la tombe et terrifièrent le vosinage. Il fallu exhumer et le rapporter dans la demeure pour obtenir un retour au calme.

    Les occupants actuels du manoir, Mr et Mrs Pinney pensent maintenant que la dernière volonté du noir à été respectée et que toute cette histoire est sortie de l'imagination d'un anticaire du XIXe siècle, le juge J.S. Udal.

    «Nous pensons, explique Mrs. Pinney, que le crâne a été découvert dans un tombeau celtique qui se trouvait derrière le manoir. On le transporta au château entre 1690 et 1694 et il fut considéré comme talisman. En 1897, le juge Udal qui visitait l'île de Nevis entendit parler d'un esclave qui était autrefois parti pour l'Angleterre. A son retour, le juge Udal s'imagina que le crâne appartenait à cet esclave et il écrivit un article à ce sujet dans un bulletin local.»

     Ce crâne, a été examiné par un spécialiste, s'est révélé être celui d'une petite fille décédée 2000 ans auparavant.
    Mais la légende est tenace. Encore aujourd'hui, on dit que si on enlève le crâne il se met à hurler, et la personne qui oserait le déplacer mourrait dans l'année.

    Brrrrrrrrr ça fait froid dans le dos!

     

     

     


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  • Le Grimoire d'ahriman

     

    L'histoire commence il y a fort longtemps, puisque nous sommes sans doute au IXe siècle. Où ? L’histoire ne le dit pas, mais probablement dans quelque pays enveloppé des brumes du nord ou de l’est. Allemagne ? Angleterre ? Hongrie, ou peut- être  Pologne. En tout cas, il s’agit d’un pays qui croit aux sorcières et à la magie noire .

    Une sorcière… Dont on ne connait pas le nom... Ahriman, peut-être… A été confondue, jugée, condamnée, et enfin brûlée. Brûlée en partie seulement, car quelqu’un – un autre sorcier ?on ne sait pas non plus – s’est approché après le supplice du bûcher auquel les restes de la sorcière, noircis par les flammes, pendaient encore.
     

    Cette personne décroche le corps du bûcher et emporte le cadavre .Sur le visage calciné de la  femme , on distingue encore une expression terrifiante de haine et de douleur. Il l’emmène chez lui. Que veut-il en faire ? On n’ose y songer…
     

    Quelques années plus tard apparaît sur le marché un livre d’aspect sinistre et noirci . Quand on l’ouvre, on lit sur les premières pages: Grimoire d’Ahriman . Les caractères sont gothiques et le texte est en intégralité consacré à des recettes de magie noire. Certains disent que le livre, pages et couverture, est entièrement fait de peau humaine : la peau de la sorcière brulée des années auparavant. Pour l’instant, nous sommes encore au tout début du IXe siècle, car c’est le couronnement de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. Un magistrat de la ville, surnommé la légende, offre le volume inquiétant au nouvel empereur. Ses intentions sont-elles amicales?ou au contraire hostiles ? Quand on connaît la suite de l’histoire, on ne se pose plus la question.
     

    On raconte que ce livre, cadeau précieux, fut exposé plus tard dans une vitrine fermée. Mais, un matin, on retrouva le grimoire sur le sol. La vitrine était brisée. Quelqu’un raconte :

    « On dirait que ce livre maudit a cherché à s’échapper, qu’il a cassé la vitrine de l’intérieur. De toute manière, la salle est hermétiquement close, et absolument personne ne peut y pénétrer pendant la nuit. »
     

    On juge alors plus prudent d’enfermer l’ouvrage  dans une armoire de fer. Quelques jours plus tard, l'armoire et ouverte et  le Grimoire a disparu ! Quelqu’un s’est emparé du Grimoire d’Ahriman, et uniquement de cet ouvrage. On perd ensuite la trace du livre pendant de longues années.
     

    Il réapparaît, un peu plus noirci encore, quand, des siècles plus tard, la maison d’un brocanteur brûle de fond en comble. Déjà, on peut se demander d’où il tenait le dangereux écrit. Et si les propriétaires successifs avaient ou non souffert de le détenir… Peut-être connaissaient-ils le mode d’emploi ? Peut-être étaient-ils, eux aussi, sorciers ou héritiers de la sorcière ?
     

    Nous arrivons en 1566, et c’est chez un diamantaire juif d’Amsterdam qu’on retrouve le manuscrit. Cet homme, selon la rumeur , possède le grimoire. L'homme qui est du genre bavard, raconte une étrange histoire : « J’ai voulu nettoyer mon grimoire. La reliure était toute maculée de fumée. Mais à peine avais-je commencé à le frotter que le livre s’est échappé de mes mains et qu’il a littéralement plongé dans une cuve d’eau qui était devant moi. Cette eau, qui l’instant d’avant était toute fraîche, s’est mise à bouillonner… Incroyable ! ». En tout cas, il a sans doute ravivé la malédiction en parlant à tort et à travers car, un peu plus tard, un malfaiteur s’introduit chez lui, le frappe et le laisse à moitié mort. Quand il reprend ses esprits, il s’aperçoit qu’on lui a dérobé le grimoire.
     

    Pendant deux siècles, le dangereux ouvrage demeure dans un oubli total . Jusqu’au jour où, à Prague, ville de sorciers et de nécromants s’il en est, deux frères héritent du grimoire. On le sait, car ils s’en disputent la propriété et leur querelle devient publique. Ils se disputent à tel point qu’ils n’hésitent pas – nous sommes au XVIIIe siècle – à se défier en duel. Et l’un des deux frères tue l’autre. Le vainqueur emporte le Grimoire chez lui, dans la célèbre rue des Alchimistes. Le lendemain, les habitants de la rue font la chaîne et dressent des échelles pour essayer de maîtriser l’incendie qui ravage sa maison. On craint que le sinistre ne se propage à tout le quartier.
     

    En tout cas, le grimoire maléfique ne disparaît pas tout à fait puisqu’on en retrouve la trace au début du XXe siècle. Dans un endroit bien différent, puisqu’il s’agit des registres de la célèbre compagnie d’assurances Lloyds.
     

    Un passager célèbre a éprouvé le besoin de faire assurer ses bagages avant un voyage transatlantique. Comme il est milliardaire, on peut comprendre qu’il ait des objets de valeur, des bijoux. Mais il fait assurer tout particulièrement le Grimoire d’Ahriman, qui est parvenu jusqu’à lui. Par quel moyen ? On l’ignore. Le milliardaire se nomme John J. Astor, et le bateau qu’il emprunte pour traverser l’Atlantique n’est autre que le Titanic, que l’on disait insubmersible…
     

    L’orgueilleux paquebot, heurté par un iceberg, disparaît dans les flots glacés avec 1513 passagers, et Astor et son grimoire qui depuis, Dieu merci, ne s’est plus manifesté.

    Heureusement...

    Le grimore d'Ahriman
    (merci a darke de loneliness ..)

     


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  • LES RODS

    Alors voilà. Les flying rods sont un types d'OVNIs très récents et très faciles à observer. Le nombre éblouissant de photos et de vidéos en est la preuve. Si on peut douter de ce que c'est, on ne peut nier que c'est un phénomène qui existe. Le plus simple, pour filmer des rods, c'est de prendre une caméra et de filmer votre jardin, un parc, ou à peu près n'importe quoi,avec une lumière rasante. Il est à peu près sur que vous obtiendrez des images de rods.

    Les explications du phénomène sont de plusieurs sortes. La personne qui a été la première à rapporter une vidéo de rods (au dessus d'une caverne, au Mexique, lors d'une session de base jump) considère que c'est une espèce inconnue car invisible à l'oeil nu, du fait de sa rapidité dont la découverte récente vient de la démocratisation des appareils photos numériques.

    La réponse généralement admise par les gens qui se disent sceptiques (ou simplement qui s'y connaissent en photographie) répondent que c'est un phénomène tout à fait banal : un insecte volant qui passe devant une caméra apparait flou et allongé. Si les battements de ses ailes ont une période plus courte que le temps de pose de l'appareil, on obtiendrait une trainée muni de voiles ondulées de chaque côté. Ce phénomène est reproductible et parfaitement expliqué.

    L'affaire en serait restée là sans compter de nouvelles allégations de la part des défendeurs de l'espèce volante super-rapide: certaines photos de rods ne peuvent pas s'expliquer par le phénomène décrit si dessus, pour certaines raisons techniques (photo prise avec un temps d'ouverture extrêmement court, etc.)

    Pour completer cet article sur les RODS ,un reportage

    Les sceptiques ,vos avis ??

     



     



     




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